Sur le tremblement de terre à L’Aquila et alentours (Italie)

February 17th, 2011

“Il faut réduire le hasard au minimum”. Ainsi Sartre during années ‘40.
Une société civile, une démocratie moderne doit savoir contenir la puissance destructrice des calamités naturelles, représentées par un de quatre chévaliers de l’Apocalipse.
Voltaire, dans son “Tremblement de terre à Lisbon” veut que l’homme apprende dominer ces events catastrophiques.
Quelqu’un a dit que les tremblements de terre, du moins approximativement, sont prévédibles et il a risqué, comme au temps de la Sainte Inquisition, d’être mis en prison.
Les savants, inclus dans les institutions publiques, ont déclaré que les tremblements de terre ne sont pas prévédibles “de façon absolute” oubliant que tous les absolutes sont tombés à la fin du ‘800 avec la crise du positivisme et du scientisme. Le fameux “Dieu est mort pour pitié au régard des hommes” de Nietzsche.
Un des savants hors des institutions a déclaré que prévoir les tremblements de terre n’est pas impossible.
Aujourd’hui en Japon il y a des tremblements de terre sans (ou bien peu de) morts et pas toutes les bâtiments s’écroulent. Beaucoup d’elles restent intactes. Et il ne s’agit pas de miracles.
L’organisation et les technologies anti-sismiques offrent les moyens pour contenir, pour “réduire au minimum”, les dangers des calamités.
La chose la plus importante est de n’être pas absolutes en négatif.

Naissance de l’essai et du scénario photographiques

February 17th, 2011

L’essai et le scénario photographiques sont nés de la constatation que le cinéma industriel s’est tellement développé qu’il n’a plus laissé aucun espace à ce lointain cinéma que les années ’30 avaient nommé septième art. La même chose s’est passée en littérature. Le ainsi dit « best-seller » héritier de l’ancien feuilleton ou de l’italien « roman d’appendix », a enterré le roman d’haute qualité. Dans ce cas l’espace d’haute niveau est occupé par l’essais littéraire, philosophique, historique et par le poëme ethique-historique au but de nourrire le théâtre-poësie. Par conséquent à la chute du cinéma de qualité on peut remédier par l’essai et le scénario photographiques qui peuvent représenter, en effet, des essais culturels et des poëmes avec des légendes en plusieurs langues au but d’en accroître la divulgation. Le public des lecteurs et des spectateurs sérà bien sûr plus limité que ce sous-culturé du cinéma industriel et des « best-sellers » mais, enfin, il faudra donner des textes académiques aux étudiants, aux enseignants et à touts ceux qui désirent connaître la culture de sa propre époque. Au contraire on dévrà fermer les écoles et toutes les associations et fondations culturelles. L’académie, par conséquent, même si en main de minorités, sérà obligé de s’imposer, étant qu’il existera toujours le talent humain, dont le but c’est le progrès de l’humanité.

Italie – Libèraux et socialists sont disparus

February 17th, 2011

Dans le kaleidoscope politique italien les très nombreuses partis et petits partis se fatiguent in dèbats interminables au but de constituer du moins un pair de partis uniques , un à droit et un à gauche , qui peuvent , comme on dit, se confronter dans l’arène électorale. Le fait est que , disparus en Italie, non seulement du marché politique mais de l’Histoire même, libéraux et socialists, qui sont la base de la structure politique européenne , le matériel à disposition de la pauvre Italie n’offre autre, à droite, que l’historique catholique-fascisme de mémoire mussolinienne et, à gauche, que l’historique catholique-communisme du flegmatique et toujours vert Andréotti. En effet il n’est pas possible trouver en Italie des socialists comme Turati et Matteotti, des libéraux comme Croce,Giolitti et Gobetti. Il ne reste que quelque “extravagance à l’italienne”. Nous pouvons ajouter encore une chose, elle aussi typiquement italienne. En 1979 ( voir “Nouvel Humanisme”) nous avions prévu un bouleversement européen ( en effet il y a eu la chute du mur) et, pour l’Italie, une espèce de saprophitisme de la classe politique, c’est à dire une lente décomposition des survécus toujours encore en cours. Par conséquent il faudra encore attendre que le procés de décomposition arrive à sa conclusion.

“CONTRO” histoire d’Ugo Ciappina bandit et martyr

February 17th, 2011

Quelques universités américaines et sud-africaines ont découvert, avec ma grande surprise, un des mes livres publié à Milan il y a quarant’ans, c’est à dire en 1968. Pas seulement, mais elles ont réussi, j’en sais pas comment, à avoir en main une copie, l’ont réimprimée et, même si écrit en italien, l’ont mise à disposition des étudiants chez leures bibliothèques et aussi chez les deux plus grandes bibliothèques d’Amérique, celle civique de New York et celle du Congrés Américain de Washington. Les universités qui ont découvert mon livre et l’ont réimprimé sont: - la Brown University de Providence (Rode Island) - la Princeton University de Princeton, N.J. (New Jersey) – l’UNISA (University of South Africa) de Prétoria (capitale du Sud Africa). En même temps l’université du Michigan a découvert un autre livre, pas écrit par moi mais qui parlait de moi, publié lui aussi à Milan dans le lointaine 1982. Le livre, au titre « Nel nome di Matteotti » (au nom de Matteotti) parlait de la Résistence italienne et, en particulier, des « Brigades Matteotti » et je étais cité comme un des vice-commandants. Lui aussi a été réimprimé et mis à disposition des étudiants chez la bibliothèque de l’université. Le fait que l’Amérique est attentive aussi à des livres en langue italienne n’est pas une surprise étant donné que mes livres sont déchargés du mon Web-Site en Amérique et en Italie en égale mésure. Je dois constater, en propos, que l’Amérique veut gagner la primauté dans le monde dans la divulgation de la culture, d’antan réservée à l’Europe et, en particulier, à la France qui, à présent s’est arrêtée au point qu’elle ne s’est aperçue du seul essais exhaustif sur la morale de Sartre écrit par moi et déchargé du mon Site par tout le planet, y comprise la Chine, en mésure d’environ cent mille copies. En Chine j’ai ouvert un débat (via Internet) sur les analogies entre Sartre et Confucius. Les portugais ont traduit ce débat. A mon avis, l’Europe s’est assise et l’Amérique, au contraire, s’est mise à galoper en dépassant les obstacles de temps et de langue. Il reste à expliquer l’intérêt culturel qui a porté à la découverte de ces livres mais, en particulier, le moyenne avec lequel on a réussi à en avoir la disponibilité matérielle. Une explication possibiliste peut être réservée au livre sur les « Brigades Matteotti ». L’Université du Michigan était évidemment intéressée à la Résistence en Italie et, dans le « World-cat » a trouvé quelques textes entre lesquels celui sur le « Brigate Matteotti ». C’est inexplicable, au contraire, le moyenne par lequel on a réussi à découvrir mon livre « Contro » et en avoir la disponibilité. J’ai le dévoir de remercier pour l’évidente appréciation, réçû après presque démi siècle étant donné que le livre a été réimprimé et mis à disposition des étudiants. Je dois à ce point préciser que le livre conte un histoire réelle, la rapine de rue Osoppo, une de plus grandes rapines du siècle. L’histoire est vraie et en même temps rocambolesque et rocambolesque est aussi l’histoire même du livre. Si l’on doit faire un film on dévrait conter deux histoires en même temps, l’histoire du livre et l’histoire contée par le livre. Il faut pourtant rappeler en synthèse les vicissitudes de ce texte. Le titre de mon livre est « Contro » (« Contre ») et, en origine, il avait comme sous-titre: « histoire d’Ugo Ciappina, bandit et martyr ». Le livre conte l’histoire de la rapine de rue Osoppo qui, à cette époque, était considérée une de plus grandes rapines du siècle. Le fait s’est vérifié dans les premiers mois du 1958. Les auteurs furent bientôt arrêtés et le procès eût lieu dans l’automne de la même année. Moi, je fus tiré au sort comme juge populaire. Ce fut de cette façon que je pus connaître les faits et, conclû le procès, je décidai d’en faire un livre. Mais le Président du tribunal (dont le nom était Gustavo), dès qu’il en vint à connaissance, fit soudain opposition. Dévant le manuscrit, il voulut le lire et le corriger. il était vraiment préoccupé. Je le voyais en proie de la peur. En effet, l’idéateur ou, comme on disait « la tête », de la rapine se servait de la « Mala » milanaise pour faire une révolte personnelle et en même temps une vengeance politique contre le régime catholique-communiste qui dominait l’Italie après 18 Avril 1948. Ciappina avait été dans la Résistence, avait été torturé par les Allemands dans la prison de « San Vittore » à Milan, avait perdu le travail parce que, comme membre de la commission des travailleurs de l’usine tel que socialiste de la Résistence, il était malvu par le patron, les catholiques et les communistes. Tombé en misère, il était dévenu proie d’un faux révolutionnaire qui avait fait l’infiltrat avant au service des Allemands et après au service des catholique-communistes du régime. Quand il découvra la trompérie, il avait dû constater que le régime avait sauvé à l’étranger l’infiltrat et en même temps mis lui sous étroite surveillance. Ce fut ainsi que Ciappina se trouva tout seul dans la « Mala » a étudier sa révolte et sa vengeance. Pratiquement il étudiait un assaut au ciel. A ce point il faut spécifier la situation de la « Mala ». Cette-ci, pour sa tradition, avait son code qu’elle respectait et qui consistait, en effet, dans une réciproque tolérance, entre certains limites, entre Mala et Police. Au dessus de ces limites, elle devenait sans limites l’action de la police. La rapine et sa « tête » étaient vraiment au dessus des limites et ça aurait ménacé l’existence même de la « Mala ». Le notable de la « Mala », dit le « professeur » avait compris les intentions de Ciappina et s’était battû pour ne faire pas la rapine. Il voyait la fin de tout. Quand il se rendit compte que tout était inutile, il se fit arrêter et, en prison, il se penda. Par conséquent, aussi le Président Gustavo ne voulait pas que les motivations de Ciappina fussent connues par l’opinion publique. La rapine, aux yeux du publique ne dévait être qu’une rapine et ne dévait exister aucune motivation politique. La Presse du Régime était aux ordres de la magistrature et la déposition de Ciappina fut ignorée. Le Président Gustavo avait vraiment peur pour sa carrière et voulait empêcher que la vérité apparaisse dans un livre. Il devint obsessif avec moi et voulait continuellement lire et corriger mon manuscrit. Le tableau historique, dans lequel s’était vérifié le fait, fut entièrement biffé, les noms devaient être imaginaires et aussi le fait devait être imaginaire. Ugo Ciappina devint Guido Festa, la rue Osoppo devint rue “dei Pardi” et ainsi fut pour tous les personnages. Cet incessant va-et-vient dura dix années. En même temps la peur éloigna même les éditeurs. En fin, en 1968, il advint un fait étrange. Un éditeur malhonnête qui, comme tous les autres, avait en main mon manuscrit, l’avait fait traduire en patois milanaise et réduire pour le théâtre sans, naturellement, implications politiques. Je fis intervenir un avocat qui arrêta la réprésentation et, en même temps, me signala à un petit éditeur courageux qui édita le livre. Par conséquent, le Président Gustavo s’alarma et, quelques mois après, deux officiers des « carabinieri », mais en vestons civiles, me firent visite. Quand je les rassurai que les ventes étaient très faibles, que j’avais réjoint les fameuses quatorze lecteurs de Manzoni, ils devinrent très gentilles et voulurent, par mon téléphone, rendre tranquille immédiatement même le Président Guatavo, qui, évidemment, attendait avec anxiété dans son bureau. Ce fut ainsi que l’aventure de ce livre eut fin. Ce fut ainsi qu’elle finit à ce temps-là. Parce que elle continue aujourd’hui encore, après quarant’ans, en Amérique et en Sud-Afrique. Je voudrais, à ce point, que les bibliothèques adjoindraient, au livre qu’elles ont réimprimé, ce blog-ci, outre le tableau historique de l’après-guère que j’ai envoyé « online » il y a quelques années (ma communication n.10) et qui a été déjà déchargé à dizaines de milliers de copies. Aussi pour la raison, comme déjà dit, que en origine le tableau historique était partie du manuscrit.

“Au nom de Matteotti” et l’Université du Michigan

February 17th, 2011

En même temps the « Contro », un de mes livres publié en 1968 à Milan, l’Université du Michigan a redécouvré un livre sur les Brigades Matteotti de la Résistence italienne qui citait mon nom tel qu’un des vice-comandants. Cette Université a pû avoir en main une copie qu’elle a généreusement rééditée et mise dans sa bibliothèque à disposition des étudiants. Etant donné que je suis un de très peu survécus des « Brigades Matteotti », j’ai le dévoir de donner une dernière témoignage pour l’histoire de cettes brigades. Dans ma réécriture historique de l’après-guère italien contée par ma Communication n.10, qu’on peut déchargé d’après mon Web-site et qui a été déchargée en dizaines de milliers de copies dans tout le planète, j’ai conté la désintégration du parti socialiste effectuée, complice Nenni, par les catholiques et les communistes qui, après le 18 Avril 1948, firent naître le régime catholique-communiste. Au course de cette désintégration les « matteottini » furent les plus frappés pour la raison qu’ils, au nom du martyr et de Philippe Turati, représentaient la pureté du socialisme, sur l’exemple de l’Angleterre et des Pays de l’Europe du Nord. La plus-part, après le 18 Avril, s’est divisé en filo-catholiques et en filo-communistes. Les « matteottini », socialistes authentiques furent mis à la marge et éloignés. On commençà en mettant à la marge, de façon misérable, le fondateur et commandant général des Brigades Matteotti Corrado Bonfantini que je aimai parce que j’étais son militaire estafette. Corrado fut frappé aussi dans son travaille et dans sa famille. Je rappelle que nous avons pleuré ensemble. Le parti de Nenni et de Morandi était financièrement à la charge du parti communiste. Au début des années ’70 De Martino et Mancini, secrétaires (un après l’autre) du parti, engageaient Martuscelli, magistrat en congé, comme président des « probiviri » (comité de juges du parti) au but de éloigner, même sans motivations, les « matteottini » encore vivants. Je dis « engageaient » parce que les deux secrétaires avaient lui promis le siège de Salerno pour le sénat en échange de ce travail sal. Mais les deux secrétaires trahirent la promise et Martuscelli, soi sentant trompé, révéla tout à plusieurs journaux italiens, y compris le « Corriere della Sera » qui, dans son archive, maintient sûrement cette documentation. Il n’y a qu’à la lui demander. Ce pendant les oppressions contre les « matteottini » étaient sans fin. Je ne peux que remercier l’Université du Michigan pour avoir nous rappélér. Je prierai enfin l’Université, pour la verité historique, d’adjoindre au livre ce blog et la citée Communication n.10. Et je remercie avec tout mon cœur.

L’Europe sérà atlantique ou ne sérà pas

February 17th, 2011

En paraphrasant la conclusion de “Nadja” de Breton ( ” La beauté sérà convulsive ou ne sérà pas “) nous pouvons dire que l’Europe sérà atlantique ou ne sérà pas. Pratiquement, à l’état des choses, une seule Europe existe et elle est la Grande Brétagne avec les Etats et les partis qui l’appuyent dans son atlantisme au point de considérer anglo-américain l’Empire américain. L’Europe continentale, qui pourrait avoir un noble point de départ tel que la réconciliation franco-allémande, au contraire est inerte. A la célébration du cinquanténaire des Pactes de Rome il ne manquait que la Messe de Réquiem de Verdi. Au contraire de ce qu’ont dit , il n’existe néanmoins une unione monétaire et de marché. Chaque Pays a un pouvoir d’achat différent de celui des autres Pays. Quoi dire de l’extravagance dollar/euro ? Le Dollar vaut 30% moins que l’Euro mais son pouvoir d’achat en Amérique est trois fois celui de l’Euro. Tous les économistes se taisent. Messe de Réquiem aussi pour eux. C’est mieux encore ne parler pas de salut, rétraits, écoles etc… Sarkozy a promis l’Europe atlantique. Après ça on pourra harmoniser les différentes politiques intérieures. L’Europe atlantique sérait un acte de sagesse. Il ne faut pas oublier que 11 Sept. 2001 une nouvelle guère mondiale est éclatée et il s’agit d’une guère plus insidieuse et difficile que les précédentes. Quoi pourrait faire l’Europe sans la couverture américaine?

Paradoxe en Vatican

February 17th, 2011

Un crier obsédant contre un million de couples, un silence absolu pour un milliard de croyants offensés dans leur fois. Un grand crier incessant et obsédant contre la légalisation de quelque million de couples homosexuels et en même temps un silence absolu en face d’actions qui instrumentent le Christ d’une façon blasphématoire et dans un but lucratif, actions qui offensent la sensibilité d’ environ un milliard de chrétiens et aussi le sens commun des laïques qui, au nom de leur morale de la liberté, se préoccupent aussi de la dignité des chrétiens. Chose, cette-ci, que les catholiques ne font pas à l’égard des laïques. C’est la supériorité de la morale classique à l’égard des morales religieuses. Un crier obsédant et un silence absolu de coté de l’Eglise de Rome : un paradoxe qui serait absurde si non exprimé par le Vatican. Le Pape et ses prélats savent ce qu’ils font et mieux encore ce qu’ils disent Le crier obsédant concerne les origines de l’humanité qui doivent rester immuables même si le danger est au minimum et seulement au naissance. Le silence absolu concerne une attaque à une sixième partie de l’humanité que l’Eglise peut aisé ment contrôler étant donné que le but des blasphémateurs n’est que le lucre. Même les épigones italiens , imprimeurs et écrivains, sont ignorés parce que considérés adorateurs du veau d’or et non pas divulgateurs de l’humanisme. En effet les anciens Ariens, qui voulaient humaniser le Christ, furent combattus à outrance, même avec l’aide de Constantin (voir le Concile de Nicée), mais résistèrent jusqu’à Attila et plus loin encore. Pour l’Eglise, à l’origine de l’humanité il n’y a pas l’individu mais la famille et n’importe qui entame cette valeur, même si minorité très basse, doit être combattu et possiblement détruit sans pitié. L’Eglise est consciente que la famille de couple, après la fin de la famille patriarcale , est pratiquement née morte. L’Eglise est consciente de ça mais elle n’a pas des alternatives. Elle ne sait pas quoi d’autre inventer mais ne peut pas accepter une famille impuissante à procréer. Ce serait la négation du futur non seulement de l’humanité, mais de l’Eglise même. C’est mieux tolérer le trafic de symboles de l’amour et de la douleur que l’Eglise sente d’être à même de contrôler. Par conséquent guère sans pitié contre Pasolini, notre génie national, qui voit la douleur dans la Vierge aux pieds de la Croix, mais ostentatoire indifférence à l’égard de Mel Gibson, de Dan Brown et de ses épigones italiens. Ceux-ci ne s’opposent pas à une famille qui peut procréer une humanité même si méprisable. Dans ce cas une telle humanité serait mieux objet d’une raison de vie pour l’Eglise.

Usque tandem Catilina?

February 17th, 2011

Usque tandem Catilina? Où Ciceron est représenté par l’Amérique et Catilina par la petite et brouillone Italie.
De l’Italie en Liban nous avons déjà parlé dans le blog sur Sarkozy. Deux mille et cinqcent garçons armés seulement de fusil entre terrorists armés de roquettes. Dans ce cas l’irresponsabilité n’est pas seulement du Parlement italien mais aussi de l’UNO et de l’Europe. Et pour Europe nous entendons l’Europe continentale, pratiquement la France qui, en effet, n’a pas une politique étrangère. Autant que nous espérons dans la promesse de Sarkozy.
Une certaine analogie se trouve en Afghanistan où deux mille italiens ne disposent pas d’armes aptes à faire face à une eventuale attaque talébane. Et ici l’irresponsabilité est toute italienne ainsi qu’elle vient récriminée par les américains mêmes.
Mais le fait paradoxal s’est passé en Somalie. Ethiopiques et Américains anéantissent les bandes
de terroristes engagés par Al Kaeeda. Bien, au lieu de remercier, les authorités italiens condamnent les libérateurs.
Ce paradoxe a une seule explication : l’anti-américanisme d’une partie de la classe politique. Un anti-américanisme qui, en partant du filo-sovietisme d’un temps desormais préhistorique, mais qui ne veut pas se réconnaitre comme tel, a réjoint par conséquent la seuil de la folie.
Usque tandem Catilina?

Sarkozy pour une symbiose euro-américaine

February 17th, 2011

Moi aussi, sartrien, si Chirac me permit de voter en France, je voterais Sarkozy, comme Andrè Gluksman et Bernard Henri Levy, eux aussi, si je bien rappelle,très voisins de Sartre. Le fait est que Sarkozy a énoncé une politique étrangère, tandis que Ségolène Royal n’en a aucune. Sarkozy a déclaré qu’il veut se placer aux cotés des anglo-américains, biensûr non pas comme subalterne mais pour collaborer à la lutte contre le terrorisme là aussi où il y a des guères oubliées. C’est ce que l’Amerique a toujours démandé à l’Europe. Si Sarkozy maintient sa parole il y a de bonnes probabilitès que enfin l’Europe politique puisse naître étant donné que seule la politique étrangère peut réaliser ce miracle. La ainsi dite politique du dialogue est une non-politique, une absense totale de politique. C’est l’apothéose de l’absurde. Dialogue avec qui? Avec les terroristes? La guère n’était pas entre Liban et Israël mais entre les terroristes Hezbollah et Israël. L’absurdité de la situation libanaise est sous les yeux de tout le monde. L’armèe sans armes des italiens à la merci des terroristes dénonce l’irresponsabilité de l’Uno, de l’Europe et de l’entier Parlement italien. Aidons pourtant Sarkozy en espérant qu’il ne change pas sa parole. L’Europe continentale même, qui se fonde, comme Chirac a dit, sur la reconciliation entre France et Allemagne (point de départ vraiment noble), aurait un futur à coté de l’Europe du Nord qui suit l’Angleterre. Je me souhaite que Chirac fasse une exception et me fasse voter en France. S’il voit mon website, il est possible qu’il fasse cette exception.

L’Iran et nos mass-media ou l’éloge de la barbarie

February 17th, 2011

Après la mort (c’est ca que je pense) de Bin Laden, les yeux hallucinés du leader fanatique de l’Iran sont dévénus le point de répère des nombreuses organisations terroristiques. Ces organisations sont totalement indépendentes, jamais liées entre elles pour raison de sécurité. L’obsession de ce leader pour les récherches nucléaires in fonction anti-américaine et son haine contre les Hébreux jusqu’à précher la destruction de l’Etat d’Israël font de lui le prototype du naziste de ce siècle,l’héritier légitime d’Hitler. Il n’accomplie pas directement des actions de terrorisme mais, indirectement, il aide toutes les organisations dans tout le monde. L’islamiste le plus fanatique, même si d’école différente, se répère a lui. Maintenant il substitue Bin Laden (que je pense mort). Véritable ou non , ce qu’il dit,pratiquement sa propagande, n’est q’une invention d’une guère de civilisation contre les chrétiens. Les majeures fautes et responsabilités sont de ces mass-média occidentaux qui ne font que montrer son nom et son visage sur tous les journaux et sur tous les écrans télévisives. Pratiquement ces mass-média avalisent les mensonges et les folies iraniennes. Pour ce qui concerne l’Italie, il faut dire que la plupart de nos mass-média est anti-américaine en parlant toujours de guère de civilisation sans comprendre le risque qu’eux mêmes courent. En effet il y a une erreure de base, c’est à dire que n’existent pas deux civilisations, mais seulement une, la nôtre. Elle est complétement laique. Partie d’elle,mais seulement partie, est constituée par plusieures réligions chrétiennes ensemble à plusieurs Etats arabes modérés qui désormais sont dévenus occidentaux et sont contre le terrorisme. La réligion islamiste des terroristes ne réprésente aucune civilisation, mais seulement le monde de la barbarie. Nos mass-média sont avertis. Les terroristes,quand’ils frappent, ne font aucune distinction. Comme on dit, homme averti sauvé à demi. Ou, si vous préférez, un homme averti en vaut deux.